La souverainete ne se quemande pas, elle s’arrache par une rupture qui n’est certainement pas facile et jamais sure de reussir au premier coup….Alors qu’un certain pays de l’Afrique Centrale s’enfonce dans un Opera Comique, d’autres pays Africains,
– l’Association des Etats du Sahel – se lance dans cette aventure difficile mais riche de promesses futures pour leurs peuples respectifs…L’election de Monsieur Bassirou Diomaye Faye a la presidence du Senegal a suscite un enthousiasme fou…[Bien sur nous ne connaissons pas les termes des accords secrets qui ont lies les gouvernements precedents aux pays occidentaux, entretenant et accentuant la dependance….], il faut maintenant applique le programme…. Le President Faye semble hesiter et tergiverse…. Le Premier Ministre Sonko dans son discours d’hier a rappele au President ses obligations…… Il faut rompre avec les pratiques passees et mettre les sengalais aux manettes – toutes les manettes du pays. Ls RUPTURE est un imperatif categorique.. Elle ne se negocie. Comme l’a ecrit Chairman Mao dans le Petit Livre Rouge [Mon exemplaire est toujours present sur ma table »
« Une révolution n’est pas un dîner, ni l’écriture d’un essai, ni la peinture d’un tableau, ni la broderie ; elle ne peut pas être si raffinée, si tranquille et douce, si tempérée, si gentille, si courtoise, si retenue et si magnanime. Une révolution est une insurrection, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Il suffit d’adapter cette verite eternelle aux circonstances politiques et sociales du pays…. La rupture est « fondationnelle », il ne peut en etre autrement…. La lutte des peuples se poursuit

